M. Pierre DAVID, chargé de mission auprès du Premier ministre
Friedland Finances, directeur (1990-1993)
Souriau SA, président-directeur général (1987-1989)
Électronique Aérospatiale, président-directeur général (1981-1986)
SNCF, directeur de cabinet du président (1976-1978)
Mme Myriam LÉVY, conseillère auprès du Premier ministre pour la communication
Figaro, grand reporteur (2005-2007)
Parisien/Aujourd’hui en France, grand reporteur (2002-2006)
Agence France Presse, journaliste (1989-2002)
BBC World Service, journaliste (1986-1988)
Radio France, journaliste (1985-1986)
M. Frank DEMAILLE, conseiller technique (financement des entreprises, services, artisanat)
JP Morgan Chase, marketing/trading produits dérivés sur taux (2000-2001)
Alcatel Space, service méthodes (1999-2000)
M. Antoine GOSSET-GRAINVILLE, directeur adjoint du cabinet
Cabinet d’avocats Gide Loyrette Nouel, associé (2002-2007)
Mme Eva PORTIER, conseillère technique (espace, industries de défense, recherche et innovation)
Starsem (Arianespace), directeur financier (2005-2007)
Astrium (EADS), contrôleur de projet
M. Pascal HELWASER, conseiller technique (macroéconomie et prévisions économiques)
HSBC, chargé d’affaires (2006-2009)
Dresdner Bank, directeur adjoint de la vente obligatoire (1995-2002)
Finacor, analyste, puis chargé d’affaires (1990-1994)
M. Bertrand de SINGLY, conseiller technique (énergie, risques, milieux naturels)
Vinci, responsable GRP Bâtiment et conducteur des travaux (2007-2009)
Cap Gemini, Ernst & Young (2000-2001)
Dalkia, groupe Veolia (1999-2000)
Merci de cette statistique illustrant la méconnaissance industrielle de la droite comme de la gauche.
Les CV des quelques-uns qui " sont passés par l’entreprise" montre que ledit passage n’était guère qu’une ou plusieurs passerelles de 2 ans en moyenne.
Ceux qui ont fait carrière dans l’industrie savent que leur réussite à un poste se mesure au bout d’un certain nombre d’années incluant une promotion interne, preuve de ladite réussite.
Mes quelques échecs personnels dans l’industrie sont intervenus au bout de 4 ans : les courts passages en entreprise des hommes politiques cités ne sont peut-être pas des expériences positives.
Preuve "au carré" que notre classe politique ignore l’entreprise !
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